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DES PRINCIPES DU LENINISME

                                              De J.Staline

Qu’est ce donc que le léninisme ?
   Le léninisme est le marxisme de d’époque de l’impérialisme et de la révolution prolétarienne. Plus exactement : le léninisme est la théorie et la tactique de la révolution prolétarienne en général, la théorie et la tactique de la dictature du prolétariat en particulier.


     
 1). LES RACINES HISTORIQUES DU LENINISME

     Le léninisme à grandi et s’est formé à l’époque de l’impérialisme (le capitalisme « agonisant ») alors la révolution prolétarienne devenait une question d’activité pratique immédiate (et non plus en préparation durant la période post-impérialiste).
   L’impérialisme pousse les contradictions du capitalisme a son extrême :
1. Travail et capital :
   L’impérialisme : Toute puissance des trusts et des consortiums monopolistes, des banques et de l’oligarchie financière dans les pays industriels, ce qui a rendu insuffisants les luttes classiques (parlementaires, syndicales…) et amène la classe ouvrière a la révolution.         
2. Rivalités inter-impérialistes :
   Luttes entre les différents groupes financiers et puissances impérialistes pour les sources de matières premières, pour les territoires d’autrui. Lutte pour le repartage du monde déjà partagé. Ce qui amène les guerres impérialistes, l’affaiblissement du capitalisme, la nécessité pratique de la révolution.
3. Impérialisme :
   Entre la poignée de nations « civilisées » dominantes et les centaines de millions d’hommes des peuples coloniaux et dépendants du monde. L’impérialisme c’est l’exploitation des immenses colonies et de cette oppression.
Mais ainsi l’impérialisme fournit de manière primaire une base industrielle dans les pays dépendants en y créant la classe prolétarienne.


                              
2).LA METHODE

   Entre la période Marx-Engels d’une part et Lénine de l’autre, l’internationale communiste (la 2ème) s’est développé de manière opportuniste et s’accommodait a la bourgeoisie. L’opportunisme dominait.
   Ce fut une période pacifique du capitalisme. Les communistes luttaient à travers les élections et les grèves économiques, aucunes visées révolutionnaires.
à Nouvelle période : Guerres impérialistes. Les anciennes méthodes de lutte s’avère manifestement insuffisantes et sans force devant la toute puissance du capital financier. Il fallait forger de nouvelles armes. Voila dans quelles conditions est née et s’est forgée la méthode du léninisme.
   Quelles sont les exigences de cette méthode ?
   1. Vérification des dogmes théoriques de la 2ème internationale, rétablissement de l’unité compromise entre théorie et pratique.
   2. Vérification de la politique des partis de la 2ème internationale (non pas sur leurs mots d’ordres mais sur leurs actes).
   3. L’autocritique des partis prolétariens, à leur instruction et à leur éducation par l’expérience de leurs propres fautes.
   Lénine disait que la théorie révolutionnaire n’est pas un dogme, qu’elle ne se forme définitivement qu’en liaison étroite avec la pratique d’un mouvement réellement massif et réellement révolutionnaire car la théorie doit servir la pratique, car la théorie doit répondre aux questions mises en avant par la pratique, car elle doit être vérifiée par les données de la pratique.


                                
3). LA THEORIE

                                     1. L’IMPORTANCE DE LA THEORIE
   La
théorie est l’expérience du mouvement ouvrier de tous les pays, prise sous sa forme générale.
   Théorie sans pratique
à inutile.
   Pratique sans théorie
à pratique aveugle.
   Mais la théorie peut devenir une force immense du mouvement ouvrier, si elle se forme en liaison indissoluble avec la pratique révolutionnaire.
« Sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire. » Lénine
« Seul un parti guidé par une théorie d’avant-garde peut remplir son rôle d’avant-garde. » Idem.

     2. CRITIQUE DE A THEORIE DE
LA SPONTANEITE
, OU A PROPOSDU ROLE
                            D’AVANT-GARDE DANS LE MOUVEMENT
   La théorie de la spontanéité est la théorie de l’opportunisme. La théorie du culte de la spontanéité s’oppose résolument à ce qu’on attribue au mouvement ouvrier un caractère révolutionnaire ; elle s’oppose à ce que le mouvement s’oriente vers la lutte contre les bases du capitalisme, elle est pour que le mouvement suive exclusivement la ligne des revendications « réalisables », « acceptables » pour le capitalisme, elle est entièrement pour la ligne du moindre effort. La théorie de la spontanéité, c’est la théorie de la diminution du rôle de l’élément conscient dans le mouvement, l’idéologie du suivisme, la base logique de tout opportunisme. Il est a peine besoin de démontrer que la destruction de cette falsification de la théorie est la condition préalable de la création de partis véritablement révolutionnaire en Occident.

                             3. THEORIE DE
LA REVOLUTION
PROLETARIENNE
   La théorie léniniste de la révolution prolétarienne part de trois thèses fondamentales.
Première thèse : La domination du capital financier dans les pays capitalistes avancés.
à Toute puissance de l’oligarchie financière.
à Caractère brutalement parasitaire du capitalisme monopoliste.
à Rend plus sensible le joug des trusts et consortiums capitalistes.
à Accroit l’indignation de la classe ouvrière.
Deuxième thèse : L’exportation accrue de capitaux dans les pays coloniaux et dépendants.
à Transformation du capitalisme en un système mondial d’asservissement financier et d’oppression coloniale.
à Economies nationales et divers territoires nationaux deviennent les anneaux d’une chaine unique : l’économie mondiale.
à Apparition de deux camps : une poignée de pays capitalistes avancées qui oppriment et exploitent une majorité énorme de pays dépendants.
Troisième thèse : Lutte forcenée pour un nouveau partage du monde entre les pays ayant déjà accaparé des territoires et ceux qui désirent leur « part ».
à Les guerres impérialistes, comme unique moyen de rétablir « l’équilibre » compromis.
Conclusion générale : « L’impérialisme est la veille de la révolution socialiste ». Lénine

La chaine du fond impérialiste, en règle général, doit se rompre là où les anneaux de la chaine sont plus faibles, et, en tout cas, pas nécessairement là où le capitalisme est plus développé, où le pourcentage des prolétaires est de tant, et celui des paysans de tant, et ainsi de suite.

 

Le développement inégal et par bonds des divers pays capitalistes dont les conditions de l’impérialisme, le développement des contradictions catastrophiques au sein de l’impérialisme, qui conduisent à des guerres inévitables, la croissance du mouvement révolutionnaire dans tous les pays du monde, tout cela conduit non seulement à la possibilité mais aussi à la nécessité de la victoire du prolétariat dans les pays pris à part.

« C’est seulement lorsque ceux d’en bas ne veulent plus et que ceux d’en haut ne peuvent plus continuer de vivre à l’ancienne manière, c’est alors seulement que la révolution peut triompher. Pas de révolution sans une crise nationale ». Lénine.

Ouvriers conscientisés et crise = révolution.

 

Mais renverser la bourgeoise et instaurer le pouvoir du prolétariat dans un seul pays, ce n’est pas encore assurer la pleine victoire du socialisme. Pour cela, il est nécessaire que la révolution triomphe au moins dans quelques pays. Aussi la révolution a tel pour tache essentielle de développer et de soutenir la révolution dans les autres pays. Aussi la révolution du pays victorieux ne doit-elle pas se considérer comme une grandeur se suffisant à elle-même mais comme un auxiliaire, comme un moyen pour hâter  la victoire du prolétariat dans les autres pays
 
                                                                                                      

         4). LA DICTATURE DU PROLETARIAT

 

1. La dictature du prolétariat (DDP), instrument de la révolution prolétarienne.

 

La révolution prolétarienne son essence, son envergure, ses conquêtes  ne prennent chaires et os que par la DDP. La DDP et l’instrument de la révolution prolétarienne, son organe, son point d’appuie le plus important, appelé à la vie d’abord pour écraser sa résistance des exploiteurs renversés et consolider ses conquêtes et, en second lieu, pour mener la révolution prolétarienne jusqu’au bout, mener la révolution jusqu’à la victoire complète du socialisme.

Vaincre la bourgeoise, renverser son pouvoir, la révolution pourra bien le faire sans la DDP. Mais écraser la résistance de la bourgeoise, maintenir la victoire et marcher en avant vers la victoire définitive du socialisme, la révolution ne sera plus en état de la faire si, à un certain degré de son développement, elle ne créée pas un organe spéciale sous la forme de la DDP, comme son point d’appuie fondamental.

La prise du pouvoir n’est que le commencement de la tache. La bourgeoise, renversée dans un pays, reste longtemps encore, pour bien des raisons, plus forte que le prolétariat qui l’a  renversé. La DDP doit briser la résistance de l’ancienne bourgeoisie et combattre les tentatives de sa restauration, organiser à la DDP en rassemblant tous les travailleurs autour du prolétariat et armer la révolution  contre l’ennemi extérieur.

« la transition du capitalisme au communisme dit Lénine, c’est tout une époque historique. Tant qu’elle n’est pas terminée, les exploiteurs gardent inéluctablement l’espoir d’une restauration, espoir qui se transforme en tentatives de restauration. »

 

En quoi réside la force de la bourgeoisie renversée?

à Dans le capitale internationale

à Ils conservent nécessairement des avantages (l’argent, les relations, les habitudes de gestion, l’instruction …)

àLa petite production (qui engendre la grande) qui ne peut être chassé mais doit être rééduquer.


 2. La DDP, domination du prolétariat sur la bourgeoisie.

 

La DDP n’est pas un simple changement de personne au sein du gouvernement, un changement de cabinet etc. laissant intact l’ancien ordre des choses économique et politique.

Les opportunistes, eux prônent ce changement, mais leurs prétendus gouvernements ne peuvent être autre chose qu’un appareil au service de la bourgeoise, qu’un camouflage des plaies de l’impérialisme, qu’un instrument entre les mains de la bourgeoise contre le mouvement révolutionnaire des masses opprimées et exploitées. Ces gouvernements, eux, sont nécessaires au capital en tant que paravent, lorsqu’il lui est  incommode, difficile d’opprimer les masses sans ce paravent. La DDP n’est pas un changement de gouvernement mais un nouvel Etat avec de nouveaux organes de pouvoirs au centre et en province, l’Etat du prolétariat, surgit sur les ruines de l’ancien Etat, de l’Etat de la bourgeoise.

La DDP : surgit au cours de la démolition de l’ordre bourgeois

àAu cours de la socialisation des principaux instruments et moyens de production.

àAu cours de la révolution prolétarienne violente.

 

L’Etat prolétarien est une machine servant à écraser la bourgeoisie. Tous les Etats de classe ayant existé jusqu’à présent étaient une dictature de la minorité exploiteuse sur la majorité exploitée, tandis que la DDP et la dictature de la majorité exploitée sur la minorité exploiteuse.

De là, deux conclusions fondamentales :

1. la DDP ne peut être la « démocratie intégrale », la démocratie pour tous et pour les riches et pour les pauvres ; la DDP « doit être un état démocratique d’une manière nouvelle ( pour les prolétaires et les non possédants en général) et dictatoriale d’une manière nouvelle ( contre la bourgeoise. »

Les propos de Kautsky et Compagnie sur l’égalité universelle, sur la démocratie pure (égalité entre exploités et exploiteurs) est impossible, cette théorie n’existe que pour voiler les plaies du capitalisme, rendre moins hideux l’impérialisme et lui conférer une force morale dans sa lutte contre les masses exploitées

 

2. La DDP ne peut pas être le résultat du développement pacifiste de la société bourgeoise et de la démocratie bourgeoise, elle ne peut être que le résultat de la destruction de la machine d’état bourgeois. La révolution violente est la loi inéluctable du mouvement révolutionnaire des pays impérialistes du monde.

 

 

         3. Le pouvoir des soviets forme d’états de la DDP.

 

Qu’est ce qui fait la force des soviets ?

1.                                   organisation de masses  les plus vastes du prolétariat

2.                                   elle unit tous les opprimés et les exploités (ouvriers, paysans, soldats…)

3.                                   sont les organes les plus puissants de la lutte révolutionnaire.

4.                                   les organisations de masses elles mêmes, les plus démocratiques

 

                6). LA QUESTION NATIONALE

 

Le léninisme à élargit la conception de la libre disposition en l’interprétant comme le droit des peuple opprimés des pays dépendants  et des colonies a la séparation complète, comme le droit des nations a exister en tant qu’état indépendant.

Les opportunistes proclament « l’égalité nationale », « égalité des nations », sous l’impérialisme  alors qu’une minorité de nations en pillent le reste c'est-à-dire la majorité, c’est se moquer des peuples opprimés.

La nécessité pour le prolétariat des nations « dominantes » de prêter un soutien révolu et actif au mouvement de libération nationale des peuples opprimés et dépendants.

La nécessité de combattre la tendance à se confiner dans le cadre strictement nationale, l’esprit d’étroitesse, le particularisme des socialistes des pays opprimés, qui ne veulent pas voir plus haut que leur clocher national et ne comprennent pas le lien qui rattache le mouvement de libération de leur pays au mouvement prolétarien des pays dominants.

« L’éducation internationale des ouvriers des pays oppresseurs doit nécessairement consister, en tout premier lieu, à prêcher et à défendre le principe de la liberté de séparation des pays opprimés. Sinon, pas d’internationalisme. Nous avons le droit et le devoir de traiter d’impérialiste et de gredin tout social-démocrate d’une nation oppressive qui ne fait pas cette propagande. Cette revendication doit être posé d’une façon absolue, combien même l’éventualité de la séparation ne devrait se présenter et être réalisable avant l’avènement du socialisme que dans un cas sur mille ».Lénine.

 

                      7). STRATEGIE ET TACTIQUE

1. La stratégie et la tactique, science de la direction de la lutte de classe du prolétariat.

Le péché mortel de la 2ème Internationale n’est pas d’avoir appliqué en son temps la tactique de l’utilisation des formes parlementaires de lutte, mais d’avoir surestimé l’importance de ses formes, qu’elle considérait comme les seuls possibles ou peu s’en faut ; et quand arriva la période des luttes révolutionnaires ouvertes, et que la question des formes de lutte extra-parlementaires vint se poser au premier plan, les partis de la 2ème Internationale se détournèrent des nouvelles taches, s’y refusèrent.
 La stratégie et la tactique du léninisme, c’est la science de la direction de la lutte révolutionnaire du prolétariat.

2. Les étapes de la révolution et la stratégie.

 La stratégie a pour objet de fixer la direction de l’effort principal du prolétariat, en se basant sur une étape donnée de la révolution ; d’élaborer un plan approprié de la disposition des forces révolutionnaires (réserves principales et secondaires), de lutter pour la réalisation de ce plan tout au long de l’étape envisagée de la révolution.
 La stratégie s’occupe des forces fondamentales de la révolution et de leurs réserves. Elle change chaque fois que la révolution passe d’une étape à l’autre, restant elle-même inchangée, pour l’essentiel, tout au long de l’étape donnée.

3. Les flux et reflux du mouvement de la tactique.

La stratégie veut gagner la guerre, la tactique s’occupe des batailles.
Elle fixe la ligne de conduite du prolétariat dans les moments de flux ou de reflux du mouvement révolutionnaire, en remplaçant des anciennes formes de luttes par des nouvelles. La tactique est une partie de la stratégie, subordonnée a celle-ci et destinée à la servir.
La tactique s’occupe des formes de lutte et des formes d’organisation du prolétariat.

4. Direction stratégique.

La direction stratégique a pour objet d’utiliser judicieusement toutes ces réserves, afin d’atteindre le but fondamental de la révolution à une étape donnée de son développement.
Lénine sur l’insurrection et la stratégie :

 « 1. Ne jamais jouer avec l’insurrection, et lorsqu’on la commence, être bien pénétré de l’idée qu’il faut la mener jusqu’au bout.
 2. Rassembler à tout prix une grande supériorité de forces à l’endroit décisif, au moment décisif, faute de quoi l’ennemi, possédant une meilleure préparation et une meilleure organisation, anéantira les insurgés.
 3. Une fois l’insurrection commencée, il faut agir avec la plus grande décision et passer coute que coute à l’attaque. La défensive est la mort de l’insurrection armée.
 4. Il faut s’efforcer de prendre l’ennemi par surprise, saisir le moment où ses troupes sont encore dispersées.
 5. Il faut remporter chaque jour ne fut-ce que de petits succès et maintenir à tout prix la supériorité morale ».
Bien choisir le moment pour porter le coup décisif :
 quand :
à La crise à atteint son point culminant.
             
à L’avant-garde est prête.
             
à Le désarroi est le plus fort chez l’adversaire.
L’organisation de l’insurrection d’Octobre peut-être considérée comme un modèle d’application d’une telle stratégie.

5. Direction stratégique.

Mettre au premier plan précisément les formes de luttes et d’organisation qui correspondent le mieux aux conditions d’un flux ou reflux donné du mouvement, qui peuvent faciliter et assurer l’acheminement des masses vers le front de la révolution et leurs répartitions sur ce front. Ce qui importe, ce n’est pas que l’avant-garde prenne conscience de l’impossibilité de maintenir l’ancien ordre des choses et de la nécessité inéluctable de son renversement. Ce qui importe, c’est que les masses, comprennent cette nécessité et se montrent prête à soutenir l’avant-garde. Les masses ne peuvent le comprendre que par leur expérience que le renversement de l’ancien pouvoir est inéluctable ; mettre en œuvre des moyens de lutte et des formes d’organisation leur permettant de se rendre compte, par l’expérience de la justesse des mots d’ordre révolutionnaires : telle est la tache…
Ce qui importe c’est précisément de dégager, parmi les taches qui se posent devant nous, la tache immédiate dont la solution constitue le point central et dont l’accomplissement assurera la solution heureuse des autres taches immédiates.

 6. Réformisme et révolutionnarisme.

 Pour le réformiste, la réforme est tout ; le travail révolutionnaire n’est là que pour l’apparence, pour jeter la poudre aux yeux.
 Pour le révolutionnaire, au contraire, le principal c’est le travail révolutionnaire, pour lui la réforme n’est que le produit accessoire de la révolution. Le révolutionnaire accepte la réforme afin de l’utiliser comme un prétexte pour combiner l’action légale et illégale.



                                           
8).LE PARTI


 Dans la période de développement plus ou moins paisible et où les formes parlementaires de luttes étaient considérées comme les principales dans ces circonstances, le parti n’avait pas et ne pouvait pas avoir l’importance sérieuse et décisive.
 On sait qu’a cette époque (de la 2ème Internationale), le parti était en fait un appendice du groupe parlementaire et un élément visant à la servir. Il est à peine besoin de démontrer que dans ces conditions, avec un tel parti à la tête, il ne pouvait être même question de préparer le prolétariat à la révolution.
 La nécessité d’un parti combatif, révolutionnaire, suffisamment courageux pour mener les prolétaires à la lutte pour le pouvoir. 


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