Le 28 Octobre 2010, en début d'après-midi, la manifestation contre les retraites a été suivie d'une action symbolique contre le local de l'UMP. Une banderole de libre expression a été collée sur le rideau métallique dudit local. A la suite de cela, les forces de l'ordre attendaient devant le fronton du Hédas le retour de certaines personnes ayant participé à cette action. Cela n'est pas un hasard. En effet, c'est une répression politique qui a été menée: contrôles d'identité pour les personnes présentes et accusation d'outrage à la nation française qui, ont-ils dit, sera suivie de poursuites judiciaires.
Puisque la police semblait être au courant de l'action qui se déroulait, pourquoi ne sont-ils pas intervenus immédiatement? Pourquoi ont-ils décidé d'attendre précisément sur le fronton le retour de ces personnes?
… Tant de questions sans réponse, qui nous inquiètent quant à la répression policière qui a lieu dans le quartier du Hédas.
Libertat,
La JCML 64;
des gens présents devant le fronton.