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La JCML est l'organisation de jeunesse du ROC-ML

 

Pour nous contacter: jeunessemarxistepau@hotmail.fr

 

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LE SITE DU ROC ML : http://rocml.org/

 

 

 

 

 

 

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21 août 2017 1 21 /08 /août /2017 18:01

Une dénonciation de la colonisation française et de l'actualité de la Françafrique ! Bien joué Passi ! 

Si toi aussi tu veux combattre la Françafrique et l'impérialisme français, n'hésite pas à prendre contact avec nous et/ou à construire un comité antiguerre dans ta ville, ta région.

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3 août 2017 4 03 /08 /août /2017 09:53

http://cgt.fr/spip.php?page=article_dossier1&id_article=44716

 

L'analyse du ROCML des ordonnances: ICI

 

À l’appel des syndicats CGT, FO, Solidaires, Unef et FSU, plusieurs milliers de personnes étaient rassemblées près de l’Assemblée nationale, et dans toute la France, le 27 juin 2017, jour de rentrée des nouveaux députés.

Des slogans, des banderoles et des pancartes contre le projet d’Emmanuel Macron de réformer le code du travail par ordonnances et contre le démantèlement du Code du travail.

Sur la tribune, des témoignages de salariés et de dirigeants des différents syndicats qui se battent contre le projet gouvernemental qui s’attaque à tous les droits du Code du travail. Des droits qui seraient remis en cause, voire amenés à disparaître, comme par exemple, dans les conventions collectives : les primes diverses (ancienneté, vacances, etc.), l’intégralité du salaire versée pendant les arrêts maladie, l’indemnité conventionnelle de départ en retraite ou de licenciement... Dans cette reforme, ce que l’on appelle « la place centrale » dévolue aux accords d’entreprise, n’est que l’inversion de la hiérarchie des normes, qui permettra au patronat d’appliquer des accords moins favorables aux salariés.

 

Avec l’extension des contrats de chantier, la fusion des instances représentatives du personnel et la barémisation des dommages et intérêts aux prud’hommes en cas de licenciement abusif, le gouvernement prépare des cadeaux au Medef, et surtout une plus grande précarisation pour les salariés.

 

 

Il n’y avait pas qu’à Paris que la CGT était mobilisée ce mardi 27 juin. Une journée d’action avait été par exemple décidée par l’UD du Nord et les UL du département. Des rassemblements ont eu lieu à Cambrai, Valenciennes, Dunkerque ou Lille. Place de la République, à Lille, les pompiers du Nord en grève depuis une dizaine de jours protestaient contre la baisse de leurs effectifs et étaient venus grossir les rangs de cette journée d’action avec les cheminots et les hospitaliers. Des prises de paroles ont eu lieu notamment sur les combats à mener cet été afin d’établir un calendrier de luttes convergentes.

 

 

Plus que jamais, il faut informer les salariés des dangers de cette loi. Ludovic Bouvier, responsable régional CGT Métallurgie Nord-Pas-de-Calais, nous explique en quoi la Loi Travail XXL est déjà présente d’une certaine façon dans les secteurs touchés par les accords de compétitivité comme celui de l’automobile. Un secteur où l’application du "CDI de projet" serait fortement à craindre.

 

 

La CGT créera toutes les conditions pour que s’ouvre une véritable négociation à partir de ses propositions d’un Code du Travail du 21ème siècle et de celles remises à la ministre du Travail le 3 juin, résolument tournées vers l’avenir pour les salariés.

Dès aujourd’hui, la CGT invite tous les salariés à se mobiliser, le 12 septembre, dans l’action et la grève.

Non aux ordonnances Macron ! Non à la casse du Code du travail !
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3 août 2017 4 03 /08 /août /2017 09:22

Retrouver notre propre analyse ICI

 

http://cgt.fr/spip.php?page=article_dossier1&id_article=44755

 

Toute modification du contrat de travail et des éléments qui le constituent, nécessite l’accord de l’employeur et du salarié. Un droit remis en cause depuis plusieurs années. Les projets d’ordonnances « Macron » ont pour volonté de pousser encore plus loin la précarisation et la flexibilisation du contrat de travail en prévoyant encore plus de cas pour lesquels un accord d’entreprise peut s’imposer à lui.

 

Comme tout contrat, des modifications ne sont possibles qu’avec l’accord des différentes parties qui l’ont contracté, ces dernières devant alors signer un avenant modifiant le contrat initial. Si le salarié refuse la modification de son contrat de travail, il ne peut pas être sanctionné pour ce motif et encore moins être licencié ! Le refus est un droit pour le salarié. Il en est de même d’un accord d’entreprise, celui-ci ne peut pas modifier le contrat de travail du salarié sans l’accord de ce dernier.

 

Un droit remis en cause au fil des années. D’abord par la loi Aubry de 1998, la loi « Aubry II » de 2000, ensuite par la loi de « sécurisation de l’emploi » de 2013, enfin, par la loi « El Khomri » de 2016 qui créée les accords collectifs de développement ou de préservation de l’emploi, permettant de diminuer la rémunération et d’augmenter la durée du travail sans l’accord du salarié. Mais la loi « El Khomri » de 2016 va encore plus loin que la loi de 2013, car ces accords peuvent être conclus alors même que l’entreprise ne connaît aucune difficulté économique !

 

Avec la Loi Travail XXL, le projet du gouvernement est de contraindre le salarié à devoir accepter tout changement de lieu de travail, de temps de travail et de rémunération, sans aucune possibilité de s’y opposer.

 

Pour la CGT, le contrat de travail ne devrait, dans aucun cas pouvoir être modifié sans l’accord du salarié ! Voir les propositions de la CGT

 

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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 16:42

Depuis le 18 mars, on sait qui va concourir pour le titre de Président de la République. Après la sinistre comédie des « primaires » marquée par les scandales et les reniements, ils sont onze. On les connaît tous, eux et leurs soutiens.

 

FILLON, MACRON, HAMON et MELENCHON ont tous participé avec des responsabilités diverses aux gouvernements de droite et de gauche qui alternent au pouvoir politique depuis plus de vingt ans. Aucun n’a agi pour satisfaire les revendications et les aspirations de la classe ouvrière, des exploités et des laissés pour compte de la société. Toutes les lois édictées par leurs gouvernements ont servi les intérêts du capital. Tous ont soutenu les politiques répressives ici en France et les politiques de guerre ailleurs, en Afrique et au Moyen Orient notamment. Ces politiciens-là, de droite radicale comme Fillon, social-libéral comme Macron, du parti socialiste comme Hamon ou d’un parti dit social-démocrate de gauche comme Mélenchon ne sont pas et ne peuvent pas être des candidats du prolétariat et des couches populaires de France. Ils cherchent des solutions dans la société capitaliste et veulent renouer le pouvoir du capital au sein d’une VIème république.

Marine le Pen, avec un discours démagogique vers les travailleurs est le  candidat de l’extrême droite. Elle représente les couches de la bourgeoisie nationale fragilisées par la mondialisation et qui rêvent de protéger l’impérialisme français et de lui redonner  un rôle conquérant dans le monde. Son discours politique chauvin, xénophobe vise à éloigner de la lutte de classe les couches du peuple les plus délaissées par les gouvernements successifs de droite et de gauche.

 

En politique extérieure, aucun des « grands » candidats ne s’oppose à la politique de l’impérialisme français au service du pillage des néo-colonies en Afrique, au Moyen Orient et ailleurs. Aucun ne propose de rapatrier les troupes françaises des pays où elles sont stationnées et où elles interviennent militairement. Sous prétexte de défendre la démocratie, les trotskystes soutiennent des mouvements soutenus, voire fomentés, par les pays impérialistes parmi lesquels la France.

 

ALORS ? Face à ce constat, qui choisir parmi cette brochette d’ennemis déclarés ou de faux amis ? Faut-il choisir celui qui paraît le moins pourri, pour  « faire son devoir électoral » ? C’est ce que souhaitent tous les agents politiques du capital et les médias à leur solde.

 

Aucun candidat ne pose véritablement la question du pouvoir, pas mêmes les candidats trotskistes qui se bornent aux revendications dans le cadre du système et sont contre un pouvoir des travailleurs, une dictature du prolétariat. A qui appartient le pouvoir aujourd’hui dans la société ? Il appartient clairement au capital, aux grandes entreprises. C’est une dictature de la bourgeoisie monopoliste publique et privée.  L’Etat est un « pouvoir spécial de répression exercé contre le prolétariat par la bourgeoisie, contre des millions de travailleurs  par une poignée de riches » (Lénine) . Ainsi, ce n’est pas en changeant de président ou de majorité que la domination du capital sera limité.

Le ROCML, n’est pas opposé systématiquement à toute participation aux élections, quand elles peuvent faire progresser le mouvement ouvrier révolutionnaire vers ses objectifs stratégiques. Ce n’est pas le cas actuellement. Il n’existe pas dans ces élections de candidat communiste porte-parole d’un mouvement ouvrier organisé dans une perspective révolutionnaire, celle de la conquête du pouvoir par le prolétariat, le renversement de l’ordre capitaliste et la construction du socialisme-communisme.

 

En l’absence d’un mouvement ouvrier politique révolutionnaire et faute d’existence d’un véritable parti communiste à la tête de ce mouvement, la participation aux élections ne peut que renforcer les illusions sur la démocratie bourgeoise.

 

Alors que faire ? Ne pas croiser les bras mais au contraire combattre pour une rupture révolutionnaire. C’est comme cela que nous pourrons empêcher les idées réactionnaires, les mesures antipopulaires de se développer.

La lutte doit se développer à partir des moyens qui existent. Les batailles à mener existent et elles doivent permettre la coordination des différents secteurs en lutte. C’est en renforçant le front des luttes, en liant les différentes luttes pour en faire une seule force, un seul centre politique que le combat pour une rupture révolutionnaire pourra se développer.  Défendre les intérêts ouvriers et populaires n’est pas une tâche aisée, car cela nécessite d’aller à contre-courant de la politique des partis institutionnels et bourgeois, à l’encontre de l’opinion majoritaire, Mais il n’y a pas d’autre alternative, ni d’autre chemin Si nous voulons résister aux offensives du capital contre la classe ouvrière et le peuple .

Le chemin de la révolution n’est pas un seul acte. Nous devons renforcer nos liens avec le prolétariat et les couches populaires en lutte, construire l’organisation politique des travailleurs indépendamment de toutes les forces bourgeoises et du capital.

Il y a 100 ans, les communistes russes ouvraient la voie à une véritable alternative pour le camp des travailleurs. Aujourd’hui, encore, l’expérience de la première révolution communiste victorieuse, la révolution d’octobre résonne encore et nous montre le chemin de la lutte.

 

MOBILISONS NOUS CONTRE LES ATTAQUES DU CAPITAL ET LES MESURES ANTI-POPULAIRES !

 

COMBATTONS LA RÉPRESSION QUI S’ABAT SUR LES OUVRIERS QUI LUTTENT ET SUR LA JEUNESSE DES QUARTIERS POPULAIRES !

 

OPPOSONS NOUS AUX GUERRES IMPÉRIALISTES ET A LA MILITARISATION DE LA SOCIÉTÉ !

 

QUE LES TRAVAILLEURS FRANÇAIS, IMMIGRES, LES JEUNES, LES FEMMES DU PEUPLE S’UNISSENT ET DÉVELOPPENT UNE FORCE INDÉPENDANTE POUR EN FINIR AVEC LE CAPITALISME !

 

A BAS LE CAPITALISME ! VIVE LE SOCIALISME-COMMUNISME !

 

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 18:18

http://rocml.org/affaire-theo-communique-de-soutien-aux-lyceens-en-lutte/

 

Ce 23 février 2017, de nombreux lycéens ont bloqué et manifesté à Paris pour contester les violences policières et plus particulièrement en soutien à Théo, violé et battu par des policiers lors d'un contrôle. Ils étaient plus d'un millier à se rassembler ce matin, place de la Nation, et clamer leur colère face à l'impunité des forces de l'ordre et l'injustice dont la jeunesse populaire est encore une fois victime. Au total, 16 lycées parisiens ont été totalement bloqués à l'initiative des jeunes. Le ROCML et la JCML soutiennent sans conditions et participent avec leurs forces à toutes les manifestations qui dénoncent les injustices commises dans l'impunité totale par les forces de l'ordre capitaliste. Les événements récents sont encore une fois la preuve qu'il existe une justice de classe dont les jeunes des quartiers populaires paient le prix fort. Nous demandons le retrait immédiat des poursuites contre les lycéens qui ont été arrêtés. Nous condamnons avec force l'intimidation opérée par la Préfecture de Police de Paris sur les réseaux sociaux et médiatiques pour briser tout élan de lutte collective entamée par la jeunesse, utilisant des procédés à la limite de la légalité. Ceci prouve que ce mouvement comme tous ceux qui portent les mêmes revendications inquiètent l'ordre social existant.

 

 

Unité populaire contre la barbarie policière !

Des quartiers populaires aux ouvriers d'air France et Goodyear luttons ensemble contre les répressions !

Barbarie ou communisme !

 

Affaire Théo : Communiqué de soutien aux lycéens en lutte
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